Sophrologue proche Limoges

Nature et Sophrologie,

Sources et Études scientifiques sur les Bienfaits de la Nature... en complément de la Sophrologie

Sophrologue spécialisée dans la grossesse et le deuil périnatal et la PMA à Limoges

les bienfaits de la nature

Ma pratique de la sophrologie au coeur de la nature en intégrant l’écothérapie ainsi que la walking thérapie (thérapie par la Marche), repose sur des bases scientifiques solides.

Cette page n’a pas vocation à être un recueil exhaustif des revues de presse sur ce sujet, mais vise à mettre en avant des organismes reconnus tels que l’OMS, Santé publique France (SPF), l’Office français de la biodiversité (OFB) ou encore l’Observatoire de la Préservation – Institut de Cardiologie de Montréal pour vous apporter un éclairage pertinent sur ma pratique, non pas fondé sur des croyances, mais sur des sources fiables et des études scientifiques rigoureuses.

Vous trouverez ci-dessous des résumés d’articles accompagnés de liens vers ces ressources, afin d’explorer plus en profondeur les bienfaits d’une approche alliant nature et santé.

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Santé Publique France

Le site internet de Santé publique France ( www.santepubliquefrance.fr ) est la plateforme officielle de l’agence nationale de santé publique en France. Il fournit des informations et des ressources sur la prévention, la surveillance et la promotion de la santé publique.

Voici deux documents mettant en lien les bienfaits de la nature sur la Santé : 

Résumé de l’article :

L’article d’Anne-Caroline Prévot met en évidence l’impact positif de la nature sur la santé psychique et mentale. Il rappelle que les humains, en tant qu’espèce vivante, interagissent en permanence avec la biodiversité. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’IPBES soulignent l’importance de la nature pour la qualité de vie et le bien-être mental.

Des études scientifiques démontrent que la nature réduit le stress (théorie de la restauration du stress de R. Ulrich) et améliore l’attention (théorie de la restauration de l’attention de R. et S. Kaplan). Ces bienfaits sont confirmés par de nombreuses recherches, y compris une revue de littérature publiée dans Lancet Planet Health .

Cependant, dans les sociétés occidentales, le lien avec la nature s’amenuise, ce que l’écologue R. Pyle appelle l’« extinction de l’expérience » de nature. Cette déconnexion est amplifiée par le manque de temps, la peur et l’ignorance. Les enfants, en particulier, passent de moins en moins de temps dehors, freinés par des normes hygiénistes et des préoccupations sécuritaires. Pourtant, jouer et interagir librement avec la nature favorise leur développement cognitif, émotionnel et social.

Enfin, se reconnecter à la nature peut transformer notre perception du monde et notre place dans l’environnement. Les personnes connectées à la nature ont tendance à mieux gérer leur anxiété et leur mal-être, et sont plus enclines à agir face aux crises écologiques.

Source (extrait du dossier La santé en Action n°467 – Octobre 2024 : https://www.santepubliquefrance.fr/docs/la-sante-psychique-en-manque-d-experiences-de-nature

Résumé du dossier numero 467 :

Le dossier n° 467 de La Santé en action met en évidence l’importance de la nature dans la préservation de la santé humaine. Il rappelle que la biodiversité et les écosystèmes jouent un rôle fondamental dans le bien-être physique et mental des populations. Pourtant, l’urbanisation croissante et la dégradation de l’environnement entraînent une déconnexion progressive des individus avec la nature, ce qui a des conséquences négatives sur la santé.

La présence de la nature en ville est essentielle pour lutter contre les effets du changement climatique, améliorer la qualité de l’air et réduire le stress. Plusieurs études démontrent que l’accès à des espaces verts et bleus favorise la santé mentale et réduit le risque de maladies chroniques. À l’inverse, la pollution, l’exploitation intensive des ressources naturelles et la disparition des habitats naturels menacent la biodiversité et augmentent les risques sanitaires, notamment en facilitant l’émergence de zoonoses.

Face à ces enjeux, différentes solutions sont mises en avant. Il est nécessaire d’intégrer la nature dans les politiques publiques urbaines, de développer des pratiques de santé en lien avec l’environnement (comme les thérapies vertes) et de promouvoir une gestion durable des écosystèmes. Des initiatives locales et internationales sont déjà mises en œuvre pour reconnecter les populations à la nature. Par exemple, certaines villes développent des projets de renaturation urbaine, tandis que des professionnels de santé encouragent l’utilisation d’espaces naturels à des fins thérapeutiques.

Ce dossier souligne ainsi l’urgence d’une action collective pour protéger la nature et, par extension, la santé des populations. La prise en compte de la biodiversité dans l’aménagement urbain et dans les politiques de santé publique est un levier essentiel pour garantir un avenir plus durable et équilibré.

Source (Dossier La santé en Action n°467 – Octobre 2024 : https://www.santepubliquefrance.fr/docs/la-sante-psychique-en-manque-d-experiences-de-nature

Office Français de la Biodiversité

L’ Office Français de la Biodiversité (OFB) est un établissement public dédié à la préservation de la biodiversité en France. Il assure des missions de surveillance, de gestion et de protection des écosystèmes, tout en sensibilisant et en accompagnant les acteurs locaux dans leurs actions en faveur de la nature.

Résumé de l’article :

Le contact avec la nature est essentiel pour la santé physique et mentale. Il renforce les défenses immunitaires, réduit le stress et contribue à prévenir divers troubles mentaux, tout en favorisant la socialisation. Les activités en plein air, comme marcher en forêt ou jardiner, apportent de nombreux bienfaits, notamment en améliorant l’humeur et la concentration.

Les promenades en forêt peuvent renforcer les défenses immunitaires, tandis que les expériences de la nature améliorent les capacités d’apprentissage des enfants. Jardiner est également apaisant, car le contact avec la terre active la production de sérotonine, l’hormone du bonheur.

La biodiversité est cruciale pour une alimentation saine. Une alimentation variée prévient les carences et les maladies. La diversité des cultures limite la propagation des maladies et protège les récoltes.

La nature joue un rôle clé dans la qualité de l’eau en filtrant les polluants, ce qui réduit les coûts de dépollution. De plus, la biodiversité est une source de médicaments, avec plus de la moitié d’entre eux étant dérivés de plantes. La préservation de la biodiversité est donc essentielle pour notre santé et notre bien-être.

Source : https://www.ofb.gouv.fr/la-biodiversite-lassurance-sante/les-bienfaits-de-la-biodiversite-sur-notre-sante

Observatoire de la Préservation - Institut de Cadiologie de Montréal

L’Observatoire de la prévention est une initiative de l’Institut de Cardiologie de Montréal visant à promouvoir la prévention des maladies cardiovasculaires pour allonger l’espérance de vie en bonne santé.

Elle propose de nombreux articles sur les bienfaits de la nature sur la santé.

Voici cinq articles du Dr Louis Bherer, Ph. D., Neuropsychologue – Professeur titulaire, Département de Médecine, Université de Montréal, Directeur adjoint scientifique à la direction de la prévention, chercheur et Directeur du Centre ÉPIC, Institut de cardiologie de Montréal.

Résumé de l’article :

En 2021, la Société des établissements de plein air du Québec (Sépaq) a commandé un rapport sur les effets de la nature sur la santé globale, mettant en lumière le concept de « bain de forêt » ou « shinrin-yoku ». Ce terme, inventé par le ministère japonais de l’Agriculture, des Forêts et de la Pêche en 1982, définit une pratique thérapeutique non conventionnelle où se promener en forêt favorise des effets bénéfiques sur la santé mentale et physique.

Une revue parapluie réalisée par des chercheurs italiens en 2022 a analysé 16 revues systématiques sur le sujet. Les résultats montrent que le bain de forêt a des effets avérés sur le bien-être psychologique, avec des recommandations majeures indiquant des bénéfices en matière de relaxation, de réduction du stress et d’amélioration de l’humeur.

Recommandations majeures :

  • Relaxation psychologique et soulagement du stress (niveau 1)
  • Réduction de l’anxiété et de l’humeur (grade 2A)

Recommandations mineures :

  • Amélioration de la qualité du sommeil (grade 2C)
  • Diminution du stress et augmentation du bien-être chez les personnes atteintes de stress post-traumatique (grade 2C)
  • Atténuation des symptômes chez les personnes atteintes de TDAH (grade 2C)
  • Diminution de l’inflammation et de l’humeur chez les personnes souffrant de maladies chroniques (grade 2B)

Pour obtenir ces bienfaits, il est recommandé de passer au moins 2 heures par semaine en forêt. Même une séance mensuelle peut être bénéfique en combinaison avec d’autres habitudes de vie saines.

Le bain de forêt stimule les cinq sens, jouant un rôle crucial dans l’expérience :

  • La vue d’un environnement forestier relaxant et familial.
  • Les odeurs des arbres et des composés organiques volatils ayant des effets apaisants.
  • Les sons naturels comme le chant des oiseaux qui aident à la récupération du stress.
  • Le toucher de la végétation, procurant une sensation de bien-être.
  • Le goût des produits naturels, bien que moins souvent intégré dans la pratique, peut renforcer le lien avec la nature.

Psychologiquement, les bains de forêt engendrent des sentiments d’acceptation, de purification des pensées négatives, de réflexion, de recharge en énergie positive et de changement personnel.

En conclusion, les bains de forêt peuvent être utilisés comme pratique complémentaire pour améliorer le bien-être mental, bien que des recherches supplémentaires soient nécessaires pour établir des effets à long terme sur la santé.

Source article du 31 août 2023 : https://observatoireprevention.org/2023/08/31/les-bienfaits-du-bain-de-foret-sur-le-bien-etre-psychologique/

Résumé de l’article :

L’article met en lumière les bienfaits cognitifs de l’exercice en plein air, en s’appuyant sur une étude réalisée par des chercheurs canadiens à l’Université de Victoria. Cette recherche a impliqué 32 étudiants, qui ont été soumis à un test de cognition avant et après avoir marché pendant 15 minutes, soit à l’intérieur, soit à l’extérieur.

Les résultats montrent une réaction significative du temps des participants après avoir marché à l’extérieur, avec un gain moyen de 7,7 millisecondes (ms), par rapport à une de seulement 2 ms après une marche à l’intérieur. De plus, l’enregistrement d’électroencéphalogrammes (EEG) a révélé une augmentation marquée de l’amplitude de l’onde P300, associée à la mémoire de travail et à l’attention, après la marche extérieure. Cette amplitude est passée de 1,4 µV à 2,4 µV, illustrant ainsi une de la cognition.

Ces résultats révèlent qu’une simple marche légère de 15 minutes à l’extérieur peut avoir des effets bénéfiques notables sur le fonctionnement cognitif. Dans un contexte où la vie urbaine prédomine et où l’exercice en intérieur est de plus en plus courant, il est conseillé de privilégier les activités en plein air lorsque les conditions le permettent. En effet, bien que l’exercice soit bénéfique pour la santé cognitive, le faire à l’extérieur pourrait maximiser ces bienfaits. Ainsi, il est recommandé d’intégrer davantage de moments de marche à l’extérieur dans nos routines pour favoriser notre santé cérébrale.

Source article du 15 Février 2023 : https://observatoireprevention.org/2023/02/15/les-bienfaits-dune-marche-a-lexterieur-sur-le-cerveau/

Résumé de l’article :

Les participants à une étude prospective qui marchaient davantage avaient un risque considérablement réduit de démence, de mortalité prématurée (toutes causes), de mortalité due à une maladie cardiovasculaire et d’incidence du cancer.

L’effet bénéfique optimal de la marche est obtenu à près de 10 000 pas/jour pour les risques de démence, de mort prématurée et de cancer.

Aussi peu que 3800 pas/jour sont associés à une diminution du risque de démence de 25 %, soit la moitié de l’effet maximal (50 %) obtenu à 9 800 pas/jour.

Une plus grande intensité (nombre de pas/minute) de la marche était associée à des effets favorables sur la mort prématurée et l’incidence de maladie cardiovasculaire et de cancer.

Source article du 7 Octobre 2022 : https://observatoireprevention.org/2022/10/07/la-marche-associee-a-une-reduction-du-risque-de-demence-de-maladies-cardiovasculaires-et-de-cancer/

Résumé de l’article :

Marcher en forêt a des impacts positifs sur le cerveau. De nombreuses études ont montré que l’interaction des humains avec la nature génère plusieurs effets bénéfiques sur la santé, tant sur le plan physique que psychologique. Une revue récente de ces études a révélé que ces effets positifs sont particulièrement convaincants en ce qui concerne la diminution du stress et de l’anxiété.

Pour mieux comprendre les mécanismes impliqués dans cette réduction du stress, une équipe de chercheurs allemands a étudié la participation de l’amygdale, une région du cerveau jouant un rôle central dans la réponse au stress. Ils ont recruté 63 participants, répartis en deux groupes : le premier groupe, appelé « ville », devait marcher pendant une heure en milieu urbain (une rue commerciale de Berlin), tandis que le second groupe, « nature », marchait dans la forêt de Grunewald.

Les chercheurs ont mesuré l’activité de l’amygdale à l’aide d’une imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) avant et après les promenades. Les résultats ont révélé des différences significatives entre les deux groupes : la marche en milieu urbain n’a eu aucun effet mesurable, alors que la marche en forêt a entraîné une diminution d’environ 50 % de l’activité de l’amygdale, même en présence de visages neutres ou exprimant la peur.

Bien qu’il soit prématuré de conclure que cette réduction de l’activité de l’amygdale soit la seule responsable des propriétés apaisantes de la nature, ces résultats sont significatifs. Ils montrent pour la première fois que l’interaction avec la nature a des effets mesurables sur l’activité de certaines zones du cerveau, notamment celles impliquées dans la réponse au stress.

Source article du 12 décembre 2022 : https://observatoireprevention.org/2022/12/12/marcher-en-foret-a-des-impacts-positifs-sur-le-cerveau/

Résumé de l’article :

Suite à un rapport rédigé pour le compte de la Société des établissements de plein air du Québec (Sépaq) sur les bienfaits de la nature sur la santé globale, produit en collaboration avec l’équipe de l’Observatoire de la prévention.

Introduction

L’être humain a toujours été en symbiose avec la nature, en tirant de cette relation essentielle les ressources nécessaires à sa survie. Cependant, l’urbanisation croissante, avec 54 % de la population mondiale vivant actuellement dans des centres urbains, a réduit les interactions avec l’environnement naturel. Cette diminution pourrait avoir des répercussions négatives sur le bien-être, car de nombreuses études démontrent que le contact avec la nature favorise des effets bénéfiques sur la santé, tant physique que psychologique.

Méthodologie

Une recherche approfondie a été menée dans la base de données MEDLINE/PubMed entre septembre et décembre 2020, identifiant plusieurs études sur les bienfaits de la nature. Ces études ont été classées en fonction de leur type, entre études d’observation et études d’intervention, permettant d’évaluer le niveau de preuve scientifique associé à chaque étude.

Résultats

Les résultats montrent que près de la moitié des études retenues étaient des études d’observation, identifiant des associations significatives entre le contact avec la nature et des bénéfices pour la santé. Les études d’intervention, en assignant des participants à différents environnements, fournissent des preuves plus solides des relations causales entre l’exposition à la nature et à la santé.

Bienfaits physiologiques

Parmi les bienfaits physiologiques confirmés, à noter :

  • Réduction de la fréquence cardiaque
  • Baisse de la pression artérielle
  • Diminution de l’activité nerveuse sympathique
  • Augmentation de l’activité nerveuse parasympathique
  • Réduction des niveaux de cortisol

Ces effets, prouvés par plusieurs méta-analyses, illustrent l’impact positif de l’environnement naturel sur la santé physique.

Bienfaits psychologiques

Le rapport établit également un lien fort entre l’interaction avec la nature et la réduction de l’anxiété. D’autres effets psychologiques potentiels, bien que moins étayés par des preuves solides, incluent :

  • Sensation réparatrice
  • Diminution de la dépression
  • Amélioration de l’humeur
  • Augmentation de la vitalité

Ces résultats mettent en lumière l’importance de réintégrer la nature dans notre quotidien pour améliorer notre bien-être général.

Source article du 8 juillet 2021 : https://observatoireprevention.org/2021/07/08/les-bienfaits-de-la-nature-sur-la-sante-globale/

Organisation Mondiale de la Santé

L’Organisation mondiale de la santé (OMS) est une agence spécialisée des Nations Unies, créée en 1948, dont le siège est situé à Genève, en Suisse. Son objectif principal est de promouvoir la santé, assurer la sécurité sanitaire mondiale et aider les populations à avoir accès à des soins de santé de qualité.

Résumé de l’article :

Lors de la conférence Stockholm+50, l’OMS a présenté une nouvelle note d’orientation soulignant les risques croissants des changements climatiques sur la santé mentale et le bien-être. L’organisation appelle les pays à intégrer le soutien en santé mentale dans leurs stratégies face à la crise climatique, citant des exemples de pays pionniers comme les Philippines et l’Inde.

Le GIEC, dans son rapport de février 2022, confirme cette menace grandissante, soulignant des impacts tels que l’anxiété, la dépression et la détresse psychologique.

L’OMS propose cinq mesures clés pour mieux répondre à ces défis :

  1. Intégrer le climat dans les programmes de santé mentale.
  2. Associer le soutien psychosocial à l’action climatique.
  3. S’appuyer sur les engagements internationaux.
  4. Développer des approches communautaires pour réduire les vulnérabilités.
  5. Augmenter le financement pour la santé mentale.

L’OMS rappelle que près d’un milliard de personnes souffrent de troubles mentaux, mais que les trois quarts des patients dans les pays à revenu faible ou intermédiaire n’ont pas accès aux soins nécessaires. En incluant la santé mentale dans les politiques climatiques et de gestion des risques, les pays peuvent mieux protéger les populations les plus vulnérables.

Cette initiative s’inscrit dans une prise de conscience plus large des liens entre environnement, climat et santé, à l’occasion du 50e anniversaire de la Conférence des Nations Unies sur l’environnement.

Source : https://www.who.int/fr/news/item/03-06-2022-why-mental-health-is-a-priority-for-action-on-climate-change

La National Library of Medicine (NLM) est la plus grande bibliothèque médicale au monde. Intégrée aux National Institutes of Health (NIH) aux États-Unis, elle collecte, archive et diffuse des informations scientifiques en santé. Elle gère notamment PubMed , une base de données essentielles pour la recherche biomédicale. Son objectif est de rendre la connaissance médicale accessible aux chercheurs, professionnels de santé et au public.

Résumé de l’article :

L’étude examine les effets d’un programme court de baignade en forêt (2 heures) dans la zone d’éducation naturelle de Xitou, à Taïwan, sur l’activité du système nerveux autonome et les émotions. 100 participants âgés de 28 à 100 ans (moyenne de 60 ans) ont été recrutés. Les mesures physiologiques (fréquence cardiaque, pression artérielle, variabilité de la fréquence cardiaque) et psychologiques ont été prises avant et après l’expérience.

Les résultats montrent une baisse significative de la fréquence cardiaque et de la pression artérielle, indiquant une récupération du stress. De plus, les participants ont rapporté une réduction des émotions négatives (tension, anxiété, fatigue, hostilité, confusion) et une augmentation de la vitalité. Les niveaux d’anxiété étaient également plus faibles après l’expérience. Cependant, les variations de l’activité nerveuse et parasympathique n’étaient pas significatives.

Cette étude suggère que la baignade en forêt, même de courte durée, peut être une stratégie efficace pour améliorer la santé cardiovasculaire et le bien-être psychologique des personnes d’âge moyen et âgé.

Source : https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC5579495/

Sophrologue spécialisée dans la gestion du stress, le burn-out et la gestion de la douleurs proche Limoges

La sophrologie est la technique de référence pour l’accompagnement d’un suivi médical ou à visée thérapeutique, qui ne peut se substituer à un traitement médical et/ou suivi psychologique.

C’est une méthode complémentaire au traitement. La nature est un complément qui comporte des propriétés mais ne se substitue en aucun cas à un traitement ou un suivi médical.

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